Transfert d’untel, je me vois dans l’obligation de vous fournir une liste presque exhaustive des bouquins qui s’accumulent, achats plus rapides que lectures, sur ma table de nuit et nulle part ailleurs (sauf un).
Donc, dans le désordre. Alejo Carpentier, le siècle des lumières. Gogol, nouvelles de Pétersbourg. Voltaire, dictionnaire philosophique. Antonio Werli, mort et vie d’Armendo Lip (je ne sais pas ce que j’attends pour le lire). Fernando Pessoa, le banquier anarchiste. Thomas Bernhart, les mange-pas-cher. Sigmund Freud, sur le rêve (ahah, j'ai rêvé que Patrick Sébastien me téléphonait pour m'annoncer ma mort il y a trois ans, j'aimerais bien savoir ce que ça veut dire). Rudyard Kipling, Kim. Schopenhauer, esthétique et métaphysique. Arthur C. Clarke, 2001, l’odyssée de l’espace. Kafka, Amerika. Baudelaire, les fleurs du mal (qui traîne là depuis un moment). Nietzsche, Crépuscule des idoles. William Burroughs, les terres occidentales. Lydia Davis, c’est fini. David Mamet, Wilson, a consideration of the sources. Mark Twain, Adventures of Huckleberry Finn. Robert Coover, pricksongs and descants. Dickens, a tale of two cities. Richard Fariña, been down so long it looks like up to me. Hawthorne, the house of the seven gables (qui traîne là lui aussi depuis un moment). Lewis Carroll, Alice’s adventures in wonderland. Ernesto Sabato, le tunnel. Jack London, white fang and the call of the wild. Saul Bellow, le faiseur de pluie. Thomas Pynchon, against the day (n’est pas sur la table de nuit).
Ça commence à faire.
Aussi en route, dans un colis au-dessus du pacifique ou du lac Kir ; Alexander Theroux, Laura Warholic, or, the sexual intellectual. Paul Verhaeghen, Omega minor.
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11 commentaires:
C'est du lourd! Le banquier anarchiste: amusant. Les Mange-pas-cher: excellent, mais j'ai lu dans la foulée "Le neveu de Wittgenstein" qui est encore mieux. Le Mamet est en ordre utile sur ma table basse, un Sabato le suit de peu et Pricksong and Descants est arrivé dans ma boîte ce matin. Je suppose que tu n'as pas besoin de commenatires sur Baudelaire, Carroll, Bellow ou Gogol?
C'est du lourd! Le banquier anarchiste: amusant. Les Mange-pas-cher: excellent, mais j'ai lu dans la foulée "Le neveu de Wittgenstein" qui est encore mieux. Le Mamet est en ordre utile sur ma table basse, un Sabato le suit de peu et Pricksong and Descants est arrivé dans ma boîte ce matin. Je suppose que tu n'as pas besoin de commenatires sur Baudelaire, Carroll, Bellow ou Gogol?
OK, OK, j'ai compris...
Je ne suis pas sûr que Sigmund t'apporteras une réponse, pour Patrick Sébastien (mais peut-être Nietzsche t'apportera-t-il une solution pour régler son compte : un bon coup de marteau).
Gogol (très amusantes les Nouvelles; lues récemment), Burroughs, Dickens, Sabato, Pessoa, Baudelaire, et compagnie, de bien bonne lectures en perspective. Toujours pas résolue à entamer Against the day ... Freud dirait quoi?
bernhardt - inépuisable (les mange-pas-cher, je ne sais même pas quoi en dire- je suis en train de lire omega minor, par contre, et pour l'instant, c'est nase et fastoche comme du david mitchell - entre les poncifs sur le talmud ou la théorie du chaos et les clichés sur les skins, pour l'instant ça se déroule comme un programme affreusement typique et je cherche le mystère. mais bon, comme je disais, je suis en train, juste en train.
ah puis impatient de te lire sur pricksong & descants. deux relectures, et j'ai toujours pas compris grand chose.
Mais c'est quoi que ce Burroughs? Connais pas.
Comme Odot, Bernhard me laisse cette réaction: "je ne sais même pas quoi en dire".
Mais oui c'est du lourd ! Je viens d'ailleurs de commencer le Mamet (ça fait un peuu Pale Fire et Infinite Jest).
kate, je crois que Freud exprimerait l'idée que le zeppelin de nos amis les Chums of Chance est un symbole phallique horizontal (donc plus vicieux) qui t'effraie (étant donné que tu a déjà brisé la glace des V2 phalliques verticaux) encore.
lazare, je sais pas, c'est en poche dans les "titres" de Bourgois, sorti il y a peu.
De Bernhard j'avais lu 'Extinction" qui m'avait bien cloué sur place.
Otarie: Ha, ha, ha!
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