30.11.07

Addenda


q) J’ai recopié plus ou moins soigneusement le premier chapitre d’Alphabetical Africa. En guise de comparaison (avec le post immédiatement sous celui-ci) disons. Voilà. Je suis donc un hors-la-loi : si jamais on m’intente un procès, pour… eh bien… reproduction illicite, j’espère que quiconque aura cliqué aidera à ma défense.

u) Mon programme télé m’indique que cette nuit, vers minuit 45, notre amie m6 diffuse l’épisode 5x09 de scrubs, dont quelques photos et un extrait ont été donnés ici. Si vous n’aimez pas m6, vous avez probablement raison, n’hésitez pas à demander des choses au Père Noël. Pour vous convaincre de la qualité de la série, voici un petit bout de l’épisode 6x06, My Musical (épisode musical donc), avec une chanson sur le caca.



o) This is fixed in the paperback. Plus donc raison de s’interroger sur d’éventuelles dérives maritimes et sensorielles de bêtises et d’innocence. Mais, passons à un autre sujet en étant cohérent; le post que tu viens éventuellement de cliquer (celui sans lequel tu ne comprends pas vraiment le pourquoi du comment) est illustré par un petit visuel d’Amer Béton, le film, plus qu’inspiré de l’œuvre éponyme de Taiyo Matsumoto (intégrale en un volume chez Tonkam à 30 €, c’est cher et ces andouilles ont fait des fautes d’orthographe dans leur traduction mais tant pis). Et c’était bien. Même avec quelques échos positifs concernant l’adaptation à l’écran, je restais plus ou moins inquiet. Sur la rythmique et le passage du N&B à la couleur notamment. Pas grand’chose à redire à ce niveau; si l’on perd un tantinet l’aspect changeant du travail original (ce n’est pas forcément flagrant, mais on assiste souvent d’une case à l’autre à des perspectives qui se modifient, des bâtiments en proie au vent, etc.), l’ensemble trouve ses marques autre part, dans son foisonnement de couleurs et ses explosions formées par les aléas de l’action. Pour la peine, je vous renvoie à cette légère chronique laissée peu après la sortie de l’ntégrale (bon je m’aperçois que j’avais même placé du Pynchon au milieu, c’est pas normal même si ça prouve une certaine cohérence, et ça me renvoie à toute la thématique de la lumière à dans AtD).

i) J’ai commencé à relire Against the Day avec mon paperback. Relire est un bien grand mot étant donné que je n’ai mangé que le tout premier chapitre, d’ailleurs l’un des plus court de l’affaire. A ceux qui ne l’auraient pas fait, je conseille de revenir dessus, c’est assez effrayant de voir tout ce qui est déjà dedans. Oui, on sait. Mais là, quand même, c’est incroyable. Des petites phrases lancées à l’ahasard au dialogue final, on est déjà dedans lors même que seulement six personnages sont présentés (je suppute que sur l’ensemble, on en compte dans les trois ou quatre centaines).

!) Toward Grace ne s’appelle même plus vraiment Toward Grace. OH SHI-

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